Bonjour à tous,
je reviens aujourd’hui avec beaucoup de retard. Je n’ai pas pris le temps dans la semaine pour faire cet article et, plutôt que de le faire à l’aveugle en 1h, j’ai préféré prendre le temps pour le faire le plus sérieusement possible malgré le retard. Le sujet de cet article me tien énormément à cœur et je ne voulais pas tout gâcher en ne prenant pas le temps de le faire comme je le voulais. Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler du printemps, en particulier mon printemps. Récemment avec mon « étude » du développement personnel (ou du moins ce que je nomme comme ça) j’ai pris le temps de m’organiser en fonction de mes intérêts instinctifs et il m’est apparu que lorsque l’automne est pour moi propice aux bilans, à l’organisation et à la planification de projet ainsi qu’aux changements, le printemps lui ai au contraire un moment de retour aux sources, de création, d’écriture, d’expression et même de découverte et redécouvertes (je me suis remise à lire de la littérature classique, notamment anglaise). J’avais donc envie de vous partager cela pour vous inviter aussi à essayer de trouver quels moments pour vous dans l’année sont plus propices à l’organisation ou à la détente, même si ce n’est pas une science et que cela varie et n’est pas à 100 % fixe, l’intérêt que j’y trouve personnellement est qu’en trouvant le moment lors duquel cela semble plus simple et plus instinctif vous trouver une occasion de rendre l’activité plus efficace. Après bien sûr je ne suis pas en train de dire qu’il faut être réglé comme une horloge et ne jamais sortir des sentiers battus ou pire se dire qu’il faut « attendre le bon moment » (puisque de toute manière, ce n’est jamais le bon moment, il y aura toujours de bonnes excuses pour ne pas vous lancer en revanche).
L’automne comme mon nouvel an
Dans un précédent article (ici), j’avais présenté en quoi mon nouvel an prenait lieu en automne dans ma vie, c’est en réalité motivé par plusieurs choses et j’avais voulu présenter dans cet article des techniques pour faire tenir des résolutions. Aujourd’hui j’aimerai vraiment y revenir un peu mais d’un point de vue plus ancré dans mon réel. En fait, automne est une saison assez charnière pour moi dans le sens où les cours ont bien repris, les partiels s’annoncent pour certaines matières, et globalement je commence doucement à mettre en place mes systèmes et surtout à faire des bilans des mois passés. En 2019 le bilan était si positif que je me suis dis qu’en parler serait formidable. Aujourd’hui dans cet article je vais en reparler un peu juste pour exposer les bases d’une réflexion autour des saisons et de comment je m’organise plus ou moins instinctivement par rapport à elles. Notez cependant qu’il ne faut pas voir ça comme un bloc bien définit d’une seule humeur, rythme de travail, vision de ma vie, etc. Il s’agit plutôt d’un ressenti instinctif global que je retrouve surtout en automne et au printemps, et c’est le sujet de ce post !
L’automne est mon nouvel an. Cette phrase peu sembler étrange, parce que dans ma culture le nouvel an c’est le 1er janvier. Mais moi je ne peux pas me fixer sur ce calendrier, simplement parce que déjà l’idée de fonder ses projets d’une année en une soirée me trouble réellement, et entant que personne plus ou moins organisée (en ce moment, c’est pas vraiment le cas) j’aime prendre le temps de construire des projets réalistes, sur la base de mes rêves ou objectifs, avec une marge de manœuvre et en me laissant quand même le temps d’y réfléchir et de trouver comment le faire sérieusement et sans risquer de devenir une « machine à rentabilité » parce que ça ne m’intéresse pas. Le côté brouillon me va très bien et dans ce processus la règle n°1 c’est de s’écouter soi. Personnellement je le fais de manière très instinctive à ce moment mais si ça avait été en hiver ou en été je l’aurai fais à ce moment. Justement pour moi le but, c’est de rendre le processus le plus naturel possible et pour moi le plus efficace était à ce moment. Et surtout de se laisser le temps de le faire sérieusement et de manière réaliste. Mais si vous voulez en savoir plus sur ce point, je vous recommande d’aller lire mon article à ce sujet.
Le printemps comme mon renouveau créatif
Le printemps dans cette histoire c’est pour moi un moment de regain et de renouveau créatif, il est vrai que je l’ai aussi un peu en automne mais c’est au printemps que cela se ressent le plus. C’est cette période qui m’anime beaucoup d’un point de vue artistique. Que ça soit les couleurs, la lumière, mais aussi une certaine ambiance que je ne saurais décrire. Je suis d’autant plus ouverte à l’apprentissage et à la découverte. Des fois cela pose quelques soucis, parce que si mon intérêt se porte sur un sujet qui n’est pas en lien avec mes études il m’arrive de bloquer sur les deux. C’est pourquoi j’essaye de toujours trouver un petit équilibre. Dans mes modes de création et d’expression il y a le Bullet Journal, qui pour le coup m’accompagne dans tout ça, l’aquarelle et le collage et aussi beaucoup l’écriture soit par un journal personnel qui me sert lors de ma routine matinale, soit des notes par-ci par-là, mon roman, mon carnet de création ou même mon carnet de projet. Je m’essaye depuis peu au dessin, j’essaye d’en faire le plus régulièrement possible pour m’améliorer et j’en profite pour travailler un peu mes aquarelles aussi. Mais il n’y a pas que faire qui compte en création. Pour moi il faut aussi nourrir cette créativité, ça passe personnellement par de la lecture, je cherche aussi beaucoup de conseils et tutos quand je cherche une technique précise, la pratique de l’art mais aussi celui d’activité méditative comme le yoga ou la méditation qui sont une bonne source d’inspiration pour moi. Mais ça peut être aussi une sieste dans votre jardin, un moment passé en famille, essayer de nouvelles recettes...faire quelque chose de nouveau et surtout en prendre le maximum de plaisir. Je ne pense pas que de but soit de faire beaucoup mais de faire ce qu’on a réellement envie de faire, d’apprendre et de découvrir. Mais cela passe par un certain équilibre de vie. Je base ça sur le fait que, comme je l’ai dis, en ce moment je ne suis pas très bien organisée et encore moins disciplinée, ainsi je perds beaucoup de temps et d’énergie à ne rien faire ou à regarder des séries. Les conséquences sont : un sommeil moins bon, du retard en cours et donc pas le temps de créer (ou pas comme je l’aimerai du moins). Malgré cela j’ai quand même pu faire pas mal de création, et évidement je ne peux pas tout vous montrer :
Un équilibre difficile à trouver mais nécessaire
La difficulté qu’implique cette instinct créatif au printemps c’est que ça arrive en plein rush pour mes partiels, et cette année en plus j’ai le confinement qui valorise plus la création que les révisions je dois bien l’avouer. Donc dans ces cas là il faut savoir faire la part des choses. Je vais ici parler de comment j’ai fais au début du confinement. J’essaye de travailler au maximum le matin et en soirée, et je garde mon après-midi pour faire des créations. Sinon je fais au moins en sorte de créer lors de ma routine matinale ou lors de mes pauses entre deux travaux (ce qui est, je l’admets, un peu risqué puisque plus je suis dedans moins je suis apte à me remettre au travail).
Mes outils d’organisation sont donc mon Bullet Journal, mon carnet à projet, et Google Agenda. J’essaye de faire le maximum mais je me limite à trois matières par jour pour éviter de m’éparpiller et surtout pour faire les cours qui nécessitent le plus de préparation le plus tôt possible.
J’espère que cet article vous a plu, peut-être vous a-t-il permis de constater que vous avez aussi ces périodes de création instinctive. J’espère vous retrouver bientôt pour d’autres articles sur la créativité mais aussi sur d’autres thèmes plus variés.
Sur ce je vous souhaite de belles découvertes.
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