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Un premier janvier en automne...

Bonjour à tous,

J’ai eu tendance à dire que je faisais un point sur mon année en novembre par souci logistique mais, après quelques observations que j’aime faire, j’ai réalisé que non, il ne s’agit pas d’un travail que je fais en novembre par souci de logistique. J’ai constaté que cette période qu’est l’automne m’inspire plus que n’importe lesquels. Même si je suis une adepte de l’amélioration continue, je suis obligée de constater qu’en automne je le fais bien plus efficacement. Je suis plus ouverte à la découverte, la création, la critique…Dans cette période je suis beaucoup plus apte à comprendre ce que j’apprends, à lire, à remettre en cause des mauvaises habites que j’ai, à reprendre certains projets ou me remettre à des activités que j’avais laissé. Mais aussi à découvrir de nouvelles méthodes, à les tester par curiosité, à changer de mode de vie.

Je voulais donc vous partager mes conseils, recommandations, et avis sur un nouveau départ. Je n’aime pas le Nouvel An, comme je n’aime pas la rentrée en septembre, c’est surement dû à mon intérêt pour l’amélioration constante, mais c’est aussi parce qu’un projet doit être tenu sur la longueur. Le Nouvel An et les bonnes résolutions qui vont avec suppose déjà que se dire « qu’on va faire » suffit, il faut des périodes. Exemple concret : j’ai appris à me lever à 5h du matin pour faire une routine matinale qui me plait et me fais du bien, je l’ai tenu jusqu’en novembre, c’est par observation et changement d’utilisation de mon bullet journal que, progressivement, je vais réussir à m’y remettre. Mais pour ça, il faut du temps. Et croyez-moi, vous pouvez en avoir du temps !

Mon « premier janvier » dure donc toute l’automne, quasiment, de la rentrée aux premiers partiels. C’est un choix risqué je l’admets, parce que si la démarche est difficile elle peut me bloquer sur mon travail, mais c’est par là que je sais que ma méthode que je croyais bonne se révèle avec ses failles que je peux améliorer, surtout qu’en ce moment je lisais aussi Votre temps est infini de Fabien Olicard. Mais mes recommandations peuvent s’appliquer à n’importe quelle période, et globalement je le fais toute l’année mais la période de changement global est en automne. Et ça sera mon premier point de cet article.


Un premier janvier…qui doit durer !

Une journée, pire une soirée, ne suffira jamais. Certes, et on y reviendra, vous devez commencer le plus rapidement à mettre en place votre remise en question, vos résolutions. Peu importe quand vous les prenez, il faut commencer rapidement. Mais pas n’importe comment ! Votre premier janvier ne doit pas s’arrêter le lendemain. Commencez déjà par reformuler vos résolutions. L’exemple le plus commun étant celui du sport, je vais reprendre le même : « Cette année, je me mets au sport » doit devenir plus concret, plus réel. Et surtout, doit tenir dans le temps. Votre premier janvier va peut-être, pour cette résolution, durer deux ou trois jours. En effet, admettons que vous vous dites cela le 1er janvier, au soir, en mangeant une troisième part de gâteau. Vous n’êtes absolument pas dans une démarche de réflexion, ni dans une démarche de logique, c’est normal et ce n’est pas le moment. Vous gagnerez juste un peu à noter ces résolutions lancées au hasard dans la soirée, mais si vous ne le faites pas ce n’est pas grave. Le lendemain vous vous levez, plus ou moins de bonne humeur, plus ou moins facilement, plus ou moins en état de réfléchir et plus ou moins tôt. Mais vous êtes levé, et vous avez entamé « cette année » ! Donc votre projet de sport commence dés aujourd’hui. Evidemment, vous n’allez pas à la salle aujourd’hui pour faire un programme intensif d’exercices pluri articulaires, mais de fait, votre résolution commence aujourd’hui. Et d’après ce que vous avez dit la veille, elle dura toute l’année. C’est ici que j’y vois un problème, en une soirée vous vous êtes verbalement engagé sur une année entière. Lorsque je vous conseille de faire durer le nouvel an, c’est donc de faire en sorte que votre engagement pour l’année nouvelle vous prenne plus d’une soirée. Si vous mettez une semaine ou deux à développer votre résolution, l’intention qui la compose, vous tiendrez bien plus longtemps car elle sera le résultat d’une réelle réflexion. Quand je découvre quelque chose, que je veux changer de mode de vie (sur une année, on peut parler de changement de mode de vie), que je veux mener à bien un projet. Entre le jour où j’ai l’idée et le jour où je « commence le projet », il peut y avoir une semaine de préparation, factuellement je n’ai pas commencé (parce que je ne vais pas à la salle) mais mentalement, j’ai commencé : j’ai déterminé le pourquoi, j’ai analysé le comment, j’ai établi le quand et je sais quels résultats je veux et pour quand je les veux (la deadline). Pour moi c’est en réalité la partie la plus importante du projet, il ne faut surtout pas faire durer cette période, ça doit se faire en grand maximum une semaine (en tout cas pour les projets comme le sport), parce que plus tôt vous vous y mettez plus tôt vous pouvez rectifier les erreurs et donc tenir plus longtemps votre résolution. Ensuite, j’ai un problème avec le « cette année », c’est trop long, trop vague, et la phrase en elle-même « cette année, je me mets au sport » n’est pas un bon engagement, elle implique que, un moment dans l’année, vous commencerez à faire du sport. Alors qu’indirectement elle veut dire « je vais faire du sport toute l’année », j’y vois là une forme de vertige de la résolution, en une soirée, mentalement, vous vous engagez à faire du sport toute l’année, mais quel sport ? quand ? comment ? et surtout pourquoi ? Un premier janvier doit durer suffisamment longtemps pour que votre résolution est un réel sens, qu’elle soit logique, réfléchit, réalisable et réellement engageante (donc on bannit le « cette année » et fait un programme réaliste par semaine). Pour moi, ma période, c’est plus ou moins de la rentrée aux partiels du premier semestre, simplement parce que c’est à ce moment que je teste vraiment ma méthodologie de travail, que je fais des erreurs. Par exemple, lorsque j’ai commencé à me lever à 7h pour ma routine puis de plus en plus tôt (jusqu’à 5h voir même 4h45), j’étais encore en vacances et au début d’année scolaire, période relativement calme, du travail mais pas énormément, et puis première erreur j’ai commencé à ne plus tenir ce rythme le week-end, mon rythme n’était plus régulier, puis j’ai commencé à me coucher trop tard, et enfin, j’ai commencé à justifier mon irrégularité en trouvant des excuses et surtout à m’en convaincre (le cerveau est fort pour ça, plus fort que lorsqu’il s’agit de nous motiver à nous lever !) Cette période de cours étant progressivement complexe, elle me permet de trouver les failles de mes méthodes et des limites de mon mode de vie, de constater progressivement comme je peux m’améliorer. C’est pour ça qu’ici je vous recommande de prolonger votre « premier janvier » sur plus ou moins une semaine pour commencer à établir ses résolutions et de bien garder en tête que l’amélioration est continue sur une longue période et qu’il faut éviter de voir trop large dans vos engagements de ce type.


Créer du temps, s’organiser et conquérir le monde !

Je me suis un peu enflammée pour l’intitulé de cette partie mais au fond c’est un peu ça, pour conquérir le monde, il faut être fin stratège. Et avec ces résolutions, votre but intérieur est surement de prendre votre vie en main, et donc dans un sens de conquérir votre monde. Je pense que, d’abord, pour bien construire sa stratégie dans son organisation, il faut commencer par déterminer le caractère de chaque résolution et le temps que l’on peut y consacrer en fonction. Il faut alors commencer par séparer le temps personnel du temps professionnel, c’est la même chose pour les résolutions. Vous avez surement formulé quelques envies pour la nouvelle période qui s’annonce autant sur le plan personnel que le plan professionnel et c’est notamment la démarche de réflexion dont je parlais plus tôt qui va vous aider à déterminer ce qui relève du pro et du perso. Une fois cela fait vous allez vous retrouver avec différentes envies, différent engagement sur ces deux fronts mais peut-être bien que vous n’ayez aucune idée du temps que vous disposez réellement. J’ai ce problème en ce moment et à l’approche du semestre prochain car je n’ai pas encore toutes mes dates de partiel et surtout je n’ai pas mon emploi du temps du semestre qui vient, pour m’organiser j’imagine alors le pire scénario. Pour moi, le pire scénario scolaire, et j’ai bien fait de l’anticiper, c’est quand je commence à 8h et fini à 20h avec seulement 1h de pause le midi. Dans la réalité j’avais plus de pause dans ma journée mais bon, c’est plus efficace d’anticiper « le pire » pour pouvoir faire au mieux. Comme vous avez déjà constitué votre résolution et le pourquoi, comment, quand, en retenant que le « quand » à cette étape de la construction du projet n’est que pour donne un ordre d’idée, par exemple pour le sport ça serait « une fois par semaine » mais admettons une résolution comme « je me remets à créer » au-delà de la mauvaise formulation, le quand établit lorsque de la première étape à dû être flou. Vous avez peut-être mis « quand j’aurais du temps libre », le piège ici c’est que le temps libre, quand on l’a, on ne le remarque pas. En effet on a plutôt tendance à gaspiller ce temps (en ce moment, j’ai même le sentiment d’avoir développé un don dans ce milieu, mais j’arrange les choses au fur et à mesure et normalement si vous avez bien établi le pourquoi du comment avant vous arriverez à ne plus gaspiller votre temps et à plutôt le mettre dans vos engagements). Pour un projet comme « créer » qui est toujours plus efficace lorsqu’il y est souvent pratiqué, de préférence quotidiennement, déjà commencez par retenir que 1 vaut mieux que 0 c’est une phrase que je retiens du livre Votre temps est infini de Fabien Olicard et elle m’aide notamment à pratiquer beaucoup plus régulièrement le piano. J’aimerais progressivement appliquer cette phrase à tous mes projets et surtout mon roman, en appliquant aussi la méthode du NaNoWriMo. Mais c’est un autre sujet, revenons à notre nouvel an ! Cette phrase doit vous amener à relativiser votre temps, si vous voulez dessiner par exemple, si vous choisissez de dessiner tous les jours vous pouvez vous dire que dessiner un doodle est mieux que de commencer un grand projet. Puis progressivement, vous verrez qu’il y a un moment que vous préférez pour dessiner et à partir de là vous pourrez commencer un projet plus grand. Personnellement, j’essaye de faire le matin avant les cours, mais ça suppose que je me réveille bien avant 8h. Par exemple, ces lignes ont été écrite pendant une journée qui a commencé avec environ 3h de lecture d’un roman dont je vous parlerais dimanche ! Le but ici est donc de trouver dans une journée le moment le plus pratique pour vous éviter au maximum de vous trouver des excuses en retenant que même 5min fera la différence. Surtout si c’est un engagement qui vous demande de pratique souvent, tous les jours peut-être, en anticipant un emploi du temps un peu charger pour ne pas avoir à revoir à la baisse vos ambitions.

Si cette préparation ne vous suffit pas pour mettre cela en place, que vous n’arrive pas à placer du temps pour vos projets ou que vous ne trouvez pas comment le faire, peut être que c’est parce que la « bonne résolution » se base sur une vision trop large. Je reviendrais plus tard sur le fait de décomposer ses bonnes résolutions en plusieurs projets accessibles, mais pour le moment je peux vous donner comme conseil de vous placer des deadlines. Laissez tomber le « cette année ». Dans l’exemple du sport, « cette année, je me mets au sport », pour débloquer la situation, pendant votre semaine « nouvel an », je vous recommande de changer le « cette année » en « dans un mois ». Par exemple, dans un mois, vous aurez une routine sportive de 1h de sport par semaine. Ensuite, dans trois mois, vous avez testé plusieurs sports différents. Dans 6 mois, vous aurez passez une autre étape (ex : passé d’une heure par semaine à 3h). C’est vous qui devez établir ces différentes étapes, et surtout le temps qu’il vous faudra, et si « un mois » est encore trop large pour vous, voyez « dans deux semaines », etc. Cela dépendra aussi de la nature de l’engagement. Mais je reviendrais sur ça dans la dernière partie de l’article.

Pour créer du temps, le plus important finalement selon moi, c’est d’apprendre à dire « non » et « stop ». Aux autres, et même à soi. Aux autres parce que souvent, les autres vous donneront à faire des missions qui les arrangent de déléguer, mais à moins que vous disiez non, ils ne peuvent pas savoir si vous pouvez le faire, si vous dites oui ils se diront que ça sera fait, que c’est gentil de votre part même, mais ils ne peuvent pas deviner que ça vous dérange, que ça va vous empêcher de faire quelque chose. Et, je vais vous dire clairement : si c’est le cas, dites non. Si vous n’en avez pas envie, que vous n’en avez pas le temps, que ça va vous empêcher de faire quelque chose (ex : votre nouvelle heure de sport le samedi), ça ne va vous ajouter uniquement que du stress, et vous ferez sans doute mal cette nouvelle tâche (ou alors elle vous prendra énormément de temps). Pour votre bien et aussi pour le bien de la personne qui vous donne la tâche, refusez poliment. Si c’est trop difficile de refuser, demandez-lui s’il est possible de diviser la tâche, que cette personne en garde une partie et que vous l’aiderez à un moment, mais que vous ne pouvez pas assumer seule la tâche en entier. A vous-même aussi, parce que parfois nous devenons rapidement notre propre tyran. J’en ai parlé souvent mais abandonner un projet, le modifier totalement, le rectifier, n’est pas un crime : c’est un gain de temps, d’énergie et surtout ça vous permet de ne pas perdre plus que ce que vous avez déjà investi dans ce projet. Pour moi, il faut être un bon tyran avec soi-même. Savoir ce que l’on veut, dans son livre Fabien Olicard parle de ses mantras, et j’ai cherché les miens, et ces deux mots qui résume le pourquoi j’agis, et qui guident mes choix, font que je suis un fil rouge, mais ils m’aident aussi à me dire stop. L’un étant Bien-être, c’est important pour moi de mettre de côté ces engagements et projets qui finalement ne m’apportent que des angoisses et des difficultés. J’écoute donc beaucoup mon corps, on a tendance à négliger cela mais une difficulté à se lever régulière, une « angoisse » liée à une journée en particulier, révèle peut-être un mal-être discret. Quelque chose dans cette journée qui vous fait du mal. Lutter contre soi lorsqu’il s’agit de se débarrasser de mauvaises habitudes c’est bien, lutter contre soi pour rentrer dans un moule qui angoisse et qui ne vous inspire rien et dont vous ne savez pas pourquoi vous le fait, c’est peut-être qu’il faut analyser le problème.


Le voir comme un projet comme un autre.

Pour rendre plus efficace ces bonnes résolutions, il faut alors les traiter comme un projet commun. C’est déjà le cas quand je dis qu’il faut prendre une semaine pour détailler l’engagement et lui trouver du temps et mettre en place des durées. Comme je l’ai dit, les durées sont déterminées par les étapes. Un projet, par exemple un dossier à rendre (oui, c’est un exemple personnel), vous ne le faites que très rarement d’un coup. Pour mon dossier, j’ai mis un deadline pour fixer la problématique et le plan, puis une pour fixer le corpus et la bibliographie, puis une pour la rédaction et la relecture. Sachant qu’il y a une date de rendu, j’ai placé ma date de fin de correction une dizaine de jour avant la date de rendu pour avoir une marge de 10 jours si jamais des modifications sont à faire, ou si je n’ai pas encore tout à fait fini (ce qui est toujours le cas finalement). Pour des résolutions, avec tout le travail de précision fait, vous pouvez plus ou moins faire la même chose. Dans l’exemple de « créer », vous pouvez commencer par faire un doodle par jour pendant quelques semaines, puis commencer à réfléchir à un projet plus grand qui se découpera en plusieurs étapes, par exemple j’essaye de reprendre mon roman à fond en ce moment, c’est un peu compliqué mais je sais que progressivement je vais reprendre en commençant par reprendre la construction (oui, je passe d’abord par la construction avant de rédiger le roman lui-même) en faisant une fiche de construction tous les matins. Le plus compliqué ici pour moi en ce moment, c’est de me lever le matin, mais bon !

Dans la même idée que l’idée d’apprendre à dire non, rappelez-vous que forcer sur un projet n’est jamais bon ni nécessaire. Le mieux, c’est que lorsque vous sentez que vous devez forcer, observez votre situation : avez-vous fait une pause récemment ? combien de temps avez-vous dormi ? qu’avez-vous mangez et il y a combien de temps ? Généralement, quand on doit forcer pour faire un projet qui vient de nous et qu’on fait pour nous, c’est qu’un autre pan de notre vie nous embrume, ça peut être momentané, par exemple, vous êtes en plein digestion, ou vous n’avez pas fait de pause après avoir travaillé deux heures sur vos projets professionnels. Je ne vous recommande pas de repousser vos projets parce que généralement la phrase « je ferais demain » se base sur une forme d’illusion. Le lendemain, vous aurez d’autres choses à faire, repousser ne fera que remplir encore plus une journée qui sera elle-même chargée en travail et occupation. Ça ne fait que déplacer le problème. Le mieux dans ce cas est de rediviser l’étape en trois et les disperser dans le temps qu’il vous reste. Ça vous laissera le temps de faire d’autre chose entre chaque et de faire des pauses régulières. Il vaut mieux faire plusieurs pauses courtes et régulières que peu de pauses mais longues qui risquent de vous décrocher totalement de votre travail (ça m’arrive souvent aussi).

Si vous avez précisez votre engagement de début d’année en prolongeant votre nouvel an sur une semaine, en établissant le pourquoi, le comment, le quand, les deadlines des étapes et que vous vous êtes décidez fermement à vous respecter en apprenant à dire « non » quand vous ne pouvez plus accepter plus de tâche, à dire « stop » quand un projet n’a plus de raison d’être. Bref vous êtes prêt à conquérir votre monde, mais vous n’arrivez pas à vous y mettre. Rien à faire, vous repoussez continuellement la première étape, vous vous trouvez des excuses, vous n’arrivez pas à vous y mettre. Alors, ma dernière recommandation, c’est de vous entourer. Trouvez quelqu’un de confiance que vous savez honnête, qui osera vous dire quand vous n’êtes pas dans la bonne démarche, qui vous poussera à vous y mettre. Engagez-vous clairement auprès de cette personne. Personnellement, quand je ne suis pas motivée à travailler, j’envoie ma to-do-list de la journée à une amie et on se donne rendez-vous en fin de journée pour que je lui fasse le bilan de ce que j’ai fait, et généralement, le bilan est incroyable : en plus d’avoir fait tout ce que je devais faire, j’ai fait beaucoup plus ! N’hésitez pas nous plus à dire clairement quand vous avez besoin d’aide. Ça peut-être un doute que vous avez sur un projet, une tâche que vous n’arrivez pas à faire, besoin d’un avis…bref, ne vous enfermez pas dans vos projets, et surtout soyez ouvert à la critique positive comme négative. Vous entourer permet aussi de découvrir de nouveau point de vue, d’autre sensibilité, d’autres méthodes que celle que je vous partage aujourd’hui, d’autres méthodes que celle que vous appliquez. C’est une ouverture intéressante pour nourrir ces projets.


Voilà, c’est la fin de ce long article, c’est la première fois de ma vie que je prends autant de temps pour vous produire un article et ça me fait plaisir. Mon premier janvier en automne est un sujet assez compliqué à faire comprendre, je pourrais faire des dizaines d’articles sur ce thème parce que je fais énormément de chose sur cette période. En ce moment j’ai beaucoup de remise en question notamment sur mon alimentation et la gestion financière mais aussi sur ma routine matinale qui dépend trop souvent de difficulté extérieure ce qui ne me plait vraiment pas. Alors, je dois reprendre tout ça et ça donnera du contenu sur le blog notamment le retour des bilans du mois, que je vais vous faire demain, même si nous ne sommes pas le 30 j’avais aussi le bilan lecture à faire donc je le fais en même temps.

J’espère que cet article vous aura plu et qu’il vous aidera le jour où vous voudrez prendre de bonnes résolutions.

Sur ce, je vous souhaite un bel automne, et de bonnes résolutions !

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