Bonjour à tous, aujourd’hui je vous retrouve pour un post qui me tenait à cœur depuis longtemps mais qui mettait du temps à se poser dans ma tête, parce qu’aujourd’hui je vais vous parler végétarisme et végétalisme. Il faut savoir que je ne suis pas du tout végane, mais peut-être que je vais devoir faire un mini-lexique :
Un végétarien est quelqu’un qui ne consomme par de chair animale, c’est-à-dire viandes, poissons, crustacés. Un végétalien est quelqu’un qui est végétarien mais qui, en plus, ne consomme pas d’éléments issus de l’animal (œufs, lait, miel…) et enfin le végan est un végétalien qui en plus ne consomme rien de provenance animale ou qui utilisent l’animal (cirque, zoo, spectacle, veste en cuir, pull en laine…). Mais il ne faut pas croire que ces définitions sont exhaustives et fixes, elles dépendront de l’avancée de la science, de la philosophie de vie de chacun, de la région, du la culture, des raisons, et aussi de la possibilité de pratique. On ne peut pas être végan partout et d’ailleurs, non, tout le monde ne peut pas l’être. De plus, le véganisme vise plus un idéal, une utopie, qu’un réel but accessible. Personnellement je suis avant tout végétalienne mais pas du tout végane, pas consciemment en tout cas, je ne vais pas au zoo etc donc c’est assez simple à éviter, et je favorise les shampoing et savon bio et non testé sur animaux, et quand je peux j’essaye surtout de prendre des produits zéro déchet. Mais j’admets que j’ai beaucoup de difficulté avec ça, disons que ce n’est pas ma priorité, ma priorité c’est mon alimentation. Je ne vais pas vous expliquer pourquoi j’ai fait ce choix ou quoi, j’avoue que je n’essaye pas de vous convaincre. C’est juste une présentation d’une partie de mon mode de vie, de ce que ça m’a apporté dans mon quotidien et comment je m’y prends dans la vie de tous les jours. Ensuite à vous de voir ce que vous faîtes de ces informations.
Déjà ce qui semble être un obstacle s’avère être une grande richesse, c’est la « difficulté » du végétalisme. Parce qu’à moins de payer dans des produits tout fait il va falloir mettre un peu la main à la pâte. Littéralement : falafels, steak de lentille, steak de haricots rouges…beaucoup de source de protéines peuvent être transformé en steak. Et personnellement j’adore ça, après ça dépendras de chacun mais moi je sais que j’en mange beaucoup, préparer de plein de manières différentes certes mais j’en mange beaucoup parce que j’adore ça. Et, oui, on peut être végétalien sans jamais toucher à un tofu de sa vie, simplement parce que ce n’est pas du tout la meilleure source de protéine. Il existe plein de tableau sur internet mettant en parallèle les rapports protéines pour 100g de légumineuses. Après, comme je l’ai dit j’en mange beaucoup, parce que j’adore ça. Mais l’important ce sont les légumes, et ça j’ai envie de dire que ça dépend des jours, il y en a pendant lesquels je ne vais manger que ça, d’autres où je ne vais presque pas en manger. Je fais un peu au feeling, et je trouve que c’est une richesse qu’on ne voit pas forcément et qui fait que quelquefois manger devient même un réel plaisir pour moi (pas toujours le cas). Après je sais que ce n’est pas donné à tous d’avoir du temps pour préparer des repas comme ça mais du coup ça implique une mini-organisation que j’ai déjà depuis le début de ma licence, à savoir de préparer un « stock de steak » pour la semaine voire plus, et donc je le fais une fois et après c’est 10min par repas. Cependant je sais que je ne suis pas 100% stratégique, par exemple je pourrais prendre des pois chiches préparés pour gagner du temps sur mes falafels mais je suis capricieuse et difficile, mais sachez que si vous voulez tenter des recettes, y a beaucoup de manière de faire ce genre de repas.
Du coup comment je m’y prends ? généralement quand j’ai réellement la flemme je fais ce que je fais tout le temps : steak de lentilles ou falafels. Mais quand je suis un peu plus motivée je me lance dans des trucs plus intéressants : tortillas, rouleaux de printemps, burger végétarien, etc. On peut vraiment tout faire pour peu de s’y intéresser et de chercher un peu sur internet mais au-delà de ça, avec la pratique ça devient relativement rapide à faire et en plus pour peu qu’on s’organise on peut en gagner encore plus. En plus de ça, je trouve que ça développe une curiosité et une créativité que je n’aurais peut-être pas eue si je ne m’étais pas lancée dans ce mode d’alimentation. Cependant je suis assez flexible, chez mes parents et en voyage je mange ce que je trouve, s’il y a de la viande ou autre je n’en ferais pas un drame. Tant que je suis végétalienne chez moi et, au minimum, végétarienne en dehors, ça serait déjà très bien, à terme j’aimerais être végétalienne partout mais pour le moment je n’y arrive que très rarement. Depuis que je ne mange plus à la cafétéria je réussis à manger de plus en plus végétalien, en plus de faire des économies. Et l’important peut être à mentionner c’est que cette nouvelle alimentation ne change absolument rien à ma vie.
Je pense que j’ai tout dis sur le sujet, encore une fois il s’agit d’une présentation, avec quand même quelques points pour vous inviter au minimum à être curieux parce que même sans ambition végétarienne ou autre il est quand même bon de se diversifier et de s’ouvrir à d’autres choses donc pourquoi pas de temps en temps tester des plats sans viande, quitte même à instaurer un jour sans viande dans votre semaine. N’oubliez pas non plus que contrairement à ce qu’on voit partout le véganisme n’a pas de définition fixe, c’est un but à atteindre qui, en fonction des gens, ne sera pas aux mêmes degrés et avec les mêmes priorités. Cet article à surtout pour but, et ça vaut un peu pour tout ce que j’écris sur le lifestyle, de vous montrer un mode de vie, un point de vue, des idées et puis après vous êtes seul responsable de ce que vous en retenez.
Sur ce je vous souhaite de belles découvertes et vous retrouve dans très peu de temps pour un prochain article !
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