Cela faisait longtemps que je n’avais pas prit le temps de préparer mon article sur cahier avant de le rédiger. On va dire que c’est un traitement particulier en hommage à un anime japonais particulier. En effet, récemment j’ai regardé un anime, et donc cet article qui n’était pas prévu prend la place d’un autre (et ce n’est pas plus mal). J’ai donc pris quelques minutes après avoir fini le visionnage de la série pour étaler ma pensée sur le papier, pour qu’elle ne soit pas trop brouillonne après. C’est une histoire qui m’a beaucoup touchée, les thèmes principaux, la maladie et la musique « classique », sont des thèmes qui sont très brutaux pour moi. Etrangement, deux réactions sont possibles : soit vous pleurez à la fin (et même avant) que pour la maladie, soit vous pleurez comme moi tout le long à cause de ça et de la puissance des interprétations de Chopin, Bach, Beethoven, bref. Vous avez compris, la musique m’a touché, encore plus, comme l’histoire parle notamment des concours de piano etc, plusieurs interprétations sont présentées dans l’anime et c’est assez beau d’entendre qu’un même titre peut être joué de 1001 manières (Quand Kaori interprète Beethoven Kosei dira « elle n’appartient plus à Beethoven, elle appartient à Kaori ») et c’est magnifique, vraiment, j’ai jamais autant écouté de Chopin depuis que j’ai vu cet anime juste parce que je voulais entendre le moindre détail, la moindre note. Je suis contente de parler de cette anime, sa beauté et la tristesse ainsi que la joie qu’il dégage n’ont aucun égal à mes yeux. Ce manga est aussi un bon prétexte pour moi pour parler de musique, parce que j’ai une rubrique dédiée, qui va bientôt être réanimée, mais j’ai beaucoup de mal à parler de musique parce que je ne me sens jamais assez légitime (malgré le fait que je joue du piano depuis longtemps et que la musique fait partie de ma vie). La musique dans ma vie c’est presque plus important que la lecture, l’écriture, le blog et les jeux-vidéo ensembles. Enfin bref, ce manga ne fait pas simplement que toucher cette corde sensible, non il la tire en riant très fort, un rire doux et clair, qui fait penser à la rosée et au miel. Ce manga est finalement très connu pour la quantité de larme qu’il a fait couler à la fin (parce que oui la fin est triste, vraiment ne regardez pas ce manga si vous êtes dans une mauvaise période, allez juste écouter les musiques ahah). Mais moi il m’a fait passer par des états d’âme opposés : des pleurs au rire pour finalement m’envoyer une bouffer d’air sucré qui m’a motivé à reprendre le piano à fond.
Ce manga est une barbe à papa.